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Témoignage admiratif et amical de son batteur en 1975, fin 1977 et 1978, le dernier livre sur Claude François est disponible ici !
Alain Baraton sur
France Inter :
« Un très bon conseil : [...] L’incroyable découverte des coccinelles. Elles sont magnifiques, elles vont dans un jardin pollué, elles repartent, elles ont perdu leurs points. C’est une enquête policière pour retrouver les 7 points des coccinelles. C’est une merveilleuse histoire... »
De nombreux exemplaires sont encore disponibles, mais plus ici. Veuillez, s'il vous plaît, vous rabattre sur n'importe quelle librairie, en ligne ou pas, ou mieux, sur ce lien.
Ce fut après le grand virage du Terrier que la quiétude sereine de l’immense bâtisse des Boirac-Ségur me joua la guitare de Sophie Rostopchine, dite comtesse de Ségur.
«Tu vois ce château, là, sur la gauche, dis-je à Paola lorsque la bourgade de Pellegrue s’offrit à nous, et bien ce château me rappelle une histoire. Paola tendit l’oreille ; elle aime bien le récit de mes aventures. Le moteur murmurait sur une note unique ; nous roulions paisiblement, précédés par la voiture dans laquelle se trouvaient mon frère et ma sœur, voiture elle-même précédée par le fourgon funéraire portant le corps de ma mère vers Sainte-Foy-la-Grande
« Je me sens si ridicule que c’en est drôle. Je me suis regardé dans la glace, et, dans ma conscience, c’est comme une bombe qui a éclaté ! Je me suis moqué de moi, et j’ai eu tellement honte que j’ai failli devenir fou. Je transmets mon cafard à tout le monde. Tu vois, personne ne rit. Tu sais que le prénom Ivan, Ivanov en russe, c’est un nom très commun. Un monsieur tout le monde. Un monsieur Dupont. Dès la naissance on a voulu me lisser. Je devais être un bébé si ennuyeux que l’on n’a pas pris la peine de me nommer. Je passe partout, je suis comme tout le monde mais je n’ai de place nulle part. »
Un anniversaire, un enterrement, un mariage, un seul lieu : LA BALLE...
« Il est mort. Tout autour on entendait sans cesse : « Il est parti », « Il s’en est allé ». Comme s’Il allait revenir. Comme si Son cœur allait battre à nouveau. Comme si Ses yeux allaient s’ouvrir à nouveau. Comme si ses connexions cérébrales allaient subitement se réactiver d’elles-mêmes. Non, non, Il est mort. Pas « parti » : mort. Crevé, clamsé, canné, kaput, dead. Mort. Mort putain ! mort. L’euphémisme adoucit les mots, pas les faits. »
Un premier roman prometteur, déjà brillant, qui, au travers les métamorphoses d'un très jeune homme, nous fait passer de l'obscurité à la pleine lumière.
Une aventure à la fois
merveilleuse et humaniste,
sous la forme d'un livre accordéon.
15,3 cm × 30,3 cm
1,80 m déplié
« J’ai l’impression de recevoir un seau d’eau glacée en pleine poire. Et puis un autre, tiens ! Un cancer évolue sournoisement dans mon sein gauche, en mode ni vu ni connu je t’embrouille. Je n’y crois pas. C’est un choc. [...]
CANCER : ce mot me fait flipper et résonne dans ma tête. Je suis complètement sonnée en fait.
Je m’appelle Gaëlle, j’ai trente-six ans, deux magnifiques zazous de sept et neuf ans, et un dur combat m’attend. »
« Endormie sur le divan de la cuisine recouvert d’une couverture grise, mouchetée de rouge et de blanc, qui grattait un peu ma joue, je fus réveillée par les «tic-tic» du fer à repasser très lourd que maniait la poigne énergique de maman. En attendant de sortir complètement de ma torpeur, je grattais du doigt les petites boules rouges en relief sur la couverture chinée.
Cela sentait bon le linge frais. Une odeur de tissu chaud et d’amidon se dégageait des cols et des manchettes empesées des chemises blanches de papa. »
